05 avril 2008
Elections législatives italiennes : la gauche radicale se démarque
Une gauche à tâtons, de Cinzia Aruzza (dans Rouge)
On peut se perdre dans les sigles, mais disons en gros que l'ancien gros parti de la gauche radicale, Rifondazione, a fini par se dissoudre dans le social-libéralisme, obligeant la gauche de combat de fonder un nouvelle organisation, la Gauche critique (Sinistra critica), qui elle-même tente de rassembler les anticapitalistes.
Un appel international en sa faveur compte parmi ses signataires les principaux dirigeants de la LCR en France, Alex Callinicos du SWP (G-B), Gilbert Achcar, Michel Warschawski, Michel Onfray, Eric Toussaint (Belgique), Zbigniew Kowalewski (Pologne), Heloïsa Helena (Brésil), Noam Chomsky, Boris Kagarlitsky, Ken Loach etc.
On peut se perdre dans les sigles, mais disons en gros que l'ancien gros parti de la gauche radicale, Rifondazione, a fini par se dissoudre dans le social-libéralisme, obligeant la gauche de combat de fonder un nouvelle organisation, la Gauche critique (Sinistra critica), qui elle-même tente de rassembler les anticapitalistes.
Un appel international en sa faveur compte parmi ses signataires les principaux dirigeants de la LCR en France, Alex Callinicos du SWP (G-B), Gilbert Achcar, Michel Warschawski, Michel Onfray, Eric Toussaint (Belgique), Zbigniew Kowalewski (Pologne), Heloïsa Helena (Brésil), Noam Chomsky, Boris Kagarlitsky, Ken Loach etc.
Libellés : Anticapitalisme, Italie