12 avril 2008

 

MEETING CONTRE LA REPRESSION ANTI-SYNDICALE, ET INFORMATION SUR LA SITUATION EN NOUVELLE-CALÉDONIE

LIBERTÉ POUR LES 19 SYNDICALISTES DE L’USTKE

Meeting lundi 21 avril à 19h, à Paris. Bourse du travail, 29 Bd du Temple, Paris 3ème, métro République

Intervenants : José Bové (Via Campesina), Annick Coupé (Union syndicale Solidaires), Yves Salesse (Coordination Nationale des Collectifs Unitaires), Patrick Pelloux (Médecin urgentiste), Noël Mamère (Les Verts) (doit confirmer), Olivier Besancenot (LCR), Jacky Foureau (CGT), Alain Mosconi (STC)(doit confirmer), Benjamin Berthuin (CNT), Corinne Perron (USTKE).

Le Tribunal de Nouméa rendra son verdict lundi 21 avril pour 19 syndicalistes de l’Union Syndicale des Travailleurs Kanaks et des Exploités pour lesquels le procureur réclame des peines de prison ferme dans le cadre d’un conflit social qui dure depuis des mois entre les salariés et la direction d’une entreprise filiale de Véolia. Le collectif "Solidarité Kanaky" organise un meeting à Paris pour informer de ce qui se passe en Nouvelle-Calédonie et pour faire connaître la gravité de la répression anti-syndicale. Des personnalités et des syndicalistes interviendront sur le procès en cours, informeront des autres luttes des populations locales concernant l’environnement et l’industrie du nickel, ainsi que de la répression anti-syndicale en France aujourd’hui.

Des vidéos inédites seront projetées à cette occasion.

Soutiens et Participants : Mouvement des Jeunes Kanak en France, Association d’Information et de Soutien aux Droits du peuple Kanak, Bellaciao, USTKE, Union Syndicale Solidaires, CGT, LCR, CNT, CSA, Les Verts, PCF, PCOF, ATTAC, Cedetim, Coordination Nationale des Collectifs Unitaires, SNPES-PJJ-FSU...

Voir le site Solidarité Kanaky ...

A Nouméa, grève générale et ambiance insurrectionnelle ...

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Comments:
Pfff, venez-y voir en NC, qui fout le bordel... C'est pas la répression anti-syndicale qui est révoltante, c'est plutôt les méthode terroristes de ces soi-disant syndicalistes. Non contents de faire grève tous les 15 jours pour un oui ou pour un non (et de se faire payer les jours de grève), ils prennent en otage la population qui paye à chaque fois le prix de leur mécontentement. Quant un syndiqué se fait virer parce qu'il tape dans la caisse, c'est parti pour le gros bloquage, l'entreprise est au bord de la faillite, et eux sortent les bâches bleues, les brochettes et les bières... Et quand ils ont bien mangé et surtout bien bu, ils caillassent les flics et incendient les bagnoles... Ceci est un exemple parmi tant d'autres des abus de ces abrutis. Et ce n'est pas une caricature, la réalité est encore plus aberante. Effectivement il arrive que leurs raisons soient justifiées, mais les méthodes sont disproportionnées. Et comprenez bien que la majorité de la population calédonienne, toutes origines confondues, en a assez de ces méthodes et rejette l'USTKE et ses dirigeants. Merci de m'avoir lu.
 
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