26 mars 2007
LEUR EUROPE ET LA NOTRE
DECLARATION DE BERLIN :
QUAND LEUR EUROPE ET CELLE DES PEUPLES N’ONT RIEN A VOIR…
Par Raoul Marc Jennar, pour la direction de campagne de José Bové
/.../ Combien de millions de chômeurs en Europe ?
Combien de millions de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté ?
Combien de familles disloquées par les licenciements boursiers, par les délocalisations, par les fermetures d’entreprises pour la seule satisfaction d’un actionnariat toujours plus insatiable ?
Combien d’emplois perdus dans une agro-industrie qui pollue et qui empoisonne de plus en plus ? Combien de morts suite aux complaisances des autorités européennes et des gouvernements à l’égard des fabricants de pesticides ?
Combien de vies brisées par un système où la logique de la concurrence libre et non faussée est la loi d’airain ?
Combien de victimes d’un système qui érige en « libertés fondamentales » la libre circulation des capitaux et des services ?
Combien d’immigrés raflés, enfermés dans des camps, déportés ?
Combien de femmes et d’hommes torturés grâce à la complicité de la Commission européenne et des gouvernements d’Europe avec un pays qui viole les conventions de Genève et le droit international ? /.../
QUAND LEUR EUROPE ET CELLE DES PEUPLES N’ONT RIEN A VOIR…
Par Raoul Marc Jennar, pour la direction de campagne de José Bové
/.../ Combien de millions de chômeurs en Europe ?
Combien de millions de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté ?
Combien de familles disloquées par les licenciements boursiers, par les délocalisations, par les fermetures d’entreprises pour la seule satisfaction d’un actionnariat toujours plus insatiable ?
Combien d’emplois perdus dans une agro-industrie qui pollue et qui empoisonne de plus en plus ? Combien de morts suite aux complaisances des autorités européennes et des gouvernements à l’égard des fabricants de pesticides ?
Combien de vies brisées par un système où la logique de la concurrence libre et non faussée est la loi d’airain ?
Combien de victimes d’un système qui érige en « libertés fondamentales » la libre circulation des capitaux et des services ?
Combien d’immigrés raflés, enfermés dans des camps, déportés ?
Combien de femmes et d’hommes torturés grâce à la complicité de la Commission européenne et des gouvernements d’Europe avec un pays qui viole les conventions de Genève et le droit international ? /.../